La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1556)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1555) -
Chapitre 20 : Première journée de travail -
Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus
Compte tenu du traitement que je subissais, avec ce doigt jouant avec ma rondelle, je me préparais à me faire sodomiser dans les secondes, sinon minutes qui allaient suivre. Tout était paradoxe, mon mental était en vrac alors que sur le plan physique, mon corps lâchait prise et demandait inexorablement des bites, il ressentait ce besoin viscéral de se faire prendre. Je sentais mon anus se dilater et souvrir, sous la contrainte de ce profond majeur inquisiteur. Ce doigt allait et venait en moi, tournoyait et écartait mon orifice intime par de petits cercles tout autour et à l'intérieur de ma corolle flétrie. Lorsque ce majeur me quittait, il était immédiatement remplacé par un pouce caressant et faisant pression sur mon entrée, tournoyant par de délicieuses petites poussées. Mon anus souvrait alors plus encore, comme si mon antre voulait avaler ce doigt, le gober, lengloutir ou le dévorer. Dans ce bureau, à quatre pattes, les reins cambrés au maximum, à seulement un mètre de Monsieur le Marquis sactivant entre les cuisses de cette secrétaire soumise, je geignais doucement, agréablement. Je me sentais prêt à me faire démonter le cul par ce sexe volumineux.
- Quelle chiennasse ! Cette salope souvre sans aucune résistance ! Il a dû en prendre des bites dans son cul, ce sale bâtard !, constatait et affirmait Martial Montambert.
Son vicieux massage me faisait maintenant haleter et frissonner. Le pervers Dominant avait parfaitement raison, je me sentais chiennasse, dautant plus chienne que ma posture en quadrupédie était semblable à celle de lanimal canin, dune femelle en chaleur ! Oui
mon cul était opérationnel et exploitable, je le savais ! Mais contre tout attente, à cet instant précis, Monsieur Montambert se désintéressait de mon orifice, mempoignait par les cheveux et me tirait violemment près de Ce Membre tumescent, Celui de Monsieur le Marquis, qui allait et venait, qui coulissait dans cette chatte écartelée de la femelle asservie.
Plus que de la jalousie, cétait de la frustration, et la gestion de cette frustration métait difficile même si je savais quelle faisait partie du processus dapprentissage nécessaire à lélaboration de ma nouvelle identité, celle dun esclave sexuel soumis à toute latitude ! Faire avec certains interdits, accepter lexistence de règles et de limites étaient autant déléments indispensables pour me construire ainsi. Je savais quil me fallait apprendre à gérer cette frustration sexuelle, car elle mettait en conscience lexistence de mes désirs et me permettait de discerner les différentes sources de blocages et dinterdits que je connaissais encore. Facile à dire
difficile à admettre !... Monsieur Montambert venait de tirer de nouveau ma tignasse et mentrainait derrière lui, toujours à quatre pattes, dans une autre pièce, adjacente à son bureau. Ce nétait pas réellement une pièce, mais plutôt un local étroit et sans lumière du jour, puisque sans fenêtre, avec en son centre une simple planche de bois brut posé sur des tréteaux sur lequel était déposé un ordinateur et un téléphone fixe.
- Voilà ton bureau salope, avec tout le confort lié à ton rang de bâtard soumis. Cest bien suffisant pour toi, nest-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Tu y seras toujours nu ici, enfin presque !
Le pervers Dominant attrapait ma cage de chasteté, dentre mes cuisses
- Presque nu, puisque tu garderas en permanence ce truc sur ta nouille, avec dautres petites contraintes te permettant de ne pas oublier ce que tu es, comme celle-là par exemple !
A cet instant, il sortait de derrière je ne sais où un tabouret sur lequel, en son centre, était arrimé un godemichet fixé à la verticale, un membre factice pas très long mais épais.
- Toi qui avais envie de te faire mettre, empale-toi là-dessus, sale chienne !
Quel sadique
Sa perversité navait aucune limite
Il me regardait vicieusement membrocher sur ce sexe factice. De mes deux mains jécartais mes lobes fessiers et pointait en tâtonnant lextrémité de cet objet sur mon orifice ouvert et préparé.
- Aller, la chienne en chaleur, assieds-toi, dun coup et dun seul, en me regardant, je veux voir tes yeux me maudire, je veux entendre tes plaintes lorsque tes sphincters vont devoir souvrir brutalement. Tu vas voir, cest un mauvais moment à passer, mais lorsque ce gode sera bien installé et bien ancré dans ton cul de lope, te connaissant maintenant un peu plus, je suis certain que tu vas prendre du plaisir, la pute !
Le pervers Dominant se gaussait, un rire ouvertement moqueur, satanique et vicieux, alors que je menfilais sur cette verge artificielle en hurlant mon écurement
mon infortune
ma misère
mon contentement
mon enchantement
ma béatitude
Je ne savais plus ! Pour accroitre la difficulté, pour me maintenir profondément amarré, Monsieur Montambert attachait à mes chevilles des bracelets de cuir sur lesquels se trouvait sur chacun deux un gros cadenas, cadenas quils refermaient sur des mousquetons rivetés eux aussi au tabouret.
- Fais-toi le cul, sale chienne, et peut-être quaprès je daignerai tenculer !
Le vicieux Dominant me regardait cyniquement, effrontément puis me donnait un dossier épais contenant des grilles tarifaires de chaque vignoble.
- Tu vas reporter chacun de ces tarifs dans un fichier Excel, pays par pays, sur lequel tu ajouteras, la TVA française et les taxes douanières. Ici tu as les coefficients multiplicateurs pour chaque pays, alors soit vigilant et sérieux, ne pense pas quà ton cul empalé de salope !
Nouveau rire moqueur, nouvel affront
Monsieur Montambert me quittait fermant la porte derrière lui. Comment être efficace ? Comment bien travailler dans cette tenue et posture contraignante, douloureuse et humiliante ? Comment faire abstraction de ces ressentis physiquement pénibles et harassants mais psychologiquement agréables et plaisants ? Je me trouvais encore une fois dans lambivalence, la simultanéité de mes ressentis, mon corps souffrait, mon cerveau semballait. Jétais dans la supplication et le dépassement, dans lexécration et le débordement
Je nen voulais à quiconque, sauf à moi-même pour ne pas simplement accepter le sort que lon me réservait, pour ne pas être encore cet esclave accompli, totalement heureux et épanoui par ces pratiques, pour ne savoir mettre en accord mon mental et mon physique et totale adéquation afin de ne faire quun tout, puissant, invulnérable et capable !... Je réfléchissais encore lorsque Monsieur le Marquis entrait. Il tenait de Ses deux mains Son pantalon ouvert, lui tombant presque aux genoux. Dun geste rapide, il faisait pivoter le tabouret à roulettes sur lequel jétais arrimé, empalé jusquà la garde. Il me présentait Son gros Membre encore volumineux et souillé de fluides intimes de la femelle quIl venait de prendre virilement sans modération.
- Nettoie-Moi !, mordonnait-il sans palabre.
Sans une once dhésitation, avec ardeur et dévouement, je prenais Son Membre épais et semi flasque en bouche et lavalais.
- Doucement salope !
Ma langue, mes lèvres glissaient sur cette hampe poisseuse, des effluves suaves et harmonieux sen dégageaient. Rien ne me rebutait, tout me fascinait
Ce sexe, ce Vit Dominant avec ces aromes, ces fumets, ce gout
je menivrais ! Ma langue caressait ce gland violacé et décalotté, glissait sous ce prépuce pour aller chercher les moindres petites sécrétions vaginales encore dissimulées, mes joues se creusaient pour aspirer les dernières gouttes de semence encore contenues dans ce noble Phallus. Je tremblais et me trémoussais tant bien que mal, sur ce gode factice planté en moi. Lexcitation était à son comble, un état extatique presque permanent avec des ondes délicieuses me parcourant léchine
J'étais presque au bord de la jouissance
- Cest bien Mon chien !
Hélas, Monsieur le Marquis venait de se retirer
Il remontait Son sous-vêtement et Son pantalon, réajustait Sa chemise et repartait. Je restais perdu, mon corps servile dans laffolement général, mon cerveau dans légarement. Quel remue-ménage ou plutôt quels remue-méninges ! Ma langue Lui a juste servi de nettoyeuse et cest tout ! Je restai sur ma faim
Javançais vite et bien sur le travail commandé, Excel était un logiciel que je connaissais et maitrisais parfaitement. Grace aux formules que javais enregistrées, jallais avoir fini sous peu ces grilles tarifaires. Pourtant, peu avant midi, alors que je mapprêtais à terminer de compléter ces grilles, Monsieur Montambert arrivait en trombe. Apeuré, je sursautais sur ce gode, mes fesses se contractaient instinctivement, je laissais échapper un cri rauque de ma gorge.
- Tu te fais du bien, grosse salope que tu es !, me lançait-il
Non, là
il se trompait mais je ne répondais rien. Je baissais les yeux en signe de soumission. Lui me détachait, me libérait de ces chevillières et mordonnait de me relever. En quittant ce godemichet, mon cul ne put retenir une flatulence.
- Je vous prie de mexcuser, Monsieur !
Pour réponse, le Dominant madministrait une gifle magistrale, puis une seconde dans la foulée.
- Première gifle pour ne pas savoir te contenir, la seconde pour avoir parlé sans autorisation.
Encore une humiliation, un affront, un abaissement, ce Dominant ne lâchait rien
rien du tout ! Mon anus restait béant, même après plusieurs minutes, je le sentais encore palpiter, cherchant vainement à se refermer
Etrangement mon sexe était libéré de cette cage de chasteté, Monsieur Montambert me tendait un slip noir qui nen était pas un véritablement.
- Enfile ce jockstrap !
Cétait la première fois que je portais un tel sous-vêtement. Je le trouvais assez saillant, mettant mes fesses en valeur, puisque celles-ci étaient dégagées. Malgré une semi érection, ma nouille était bien en place, peu dissimulée sous une étoffe noire épousant mes formes et quasiment transparente. Après quil meut flatté le cul, par des caresses, une ou deux fessées et le malaxage sans douceur de mes lobes, il sortait de la poche de sa veste, un petit objet en tissu noir, quil accrochait autour de mon cou. Ce nétait rien dautre quun nud papillon ! Je me trouvais ridicule, torse nu, avec cet accessoire autour du cou et ce simple jockstrap cachant mon sexe mais dévoilant mes fesses.
- Bras et mains croisés dans le dos salope !
Je me laissais attacher les membres et dès que ceux-ci furent liés, Martial Montambert mentrainait avec lui, me tenant fermement par un bras. Nous traversâmes son bureau pour regagner un couloir. Derrière une porte fermée, jentendais des conversations et des rires
Juste avant que le Dominant louvre, il me dit :
- Tu as intérêt à te montrer tel que Monsieur le Marquis veut te voir, as-tu bien compris salope ?
- Oui Monsieur.
- Et comment Monsieur le Marquis veut que tu sois ?
- Le Maître souhaite me voir tel que je suis : Une salope, Monsieur !
- Cest bien, tu as tout compris, une véritable salope, une chiennasse obéissante, une putain dévouée, servile et obéissante, qui se donne sans réserve, juste pour le plaisir des Dominants.
A cet instant il ouvrait ladite porte, les conversations se turent, six regards se portaient sur moi.
- Mesdames et Messieurs les administrateurs, voici notre dernière recrue, voici esclavalex, fait pour nous servir et nous donner du plaisir
Tels furent les mots du Noble ! Tête basse, le regard au sol, javançais timidement vers Lui, Il me détachait les mains de derrière mon dos et me montrait un plateau argenté sur lequel, sept flutes de champagne attendaient.
- Fais le service, ma pute !...
(A suivre
)
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